Citation :
Ca c'est juste parce que les techniques de transition sont encore balbutiantes. J'aimerais bien savoir comment tu vas bien pouvoir mettre en pratique ton refus "essentiel" le jour où tu seras plus capable de faire de différence entre un "vrai" et un trans.
A court et moyen terme en tout cas on est absolument pas.
Pour une majorité d'individus les attributs physiques masculin sont largement trop reconnaissables, que ce soit la structure musculaire, la pomme d'adam, la bosse à l'arrière de la tête et d'une manière générale les traits de visages.
Donc tu peux faire des plans sur la comête, actuellement au moment où on se parle on a est pas du tout en train de connaitre une révolution sur ce sujet donc j'ai l'impression que pour plus de 50 % des cas ça sera perdu d'avance.
Aujourd'hui on peut faire du beau travail sur des individus qui ont déjà de base des formes gracieuse, quand on se renseigne suffisamment sur ce sujet on peut trouver des trans particulièrement réussis et tant qu'on sait pas qu'ils ont un chibre on peut les prendre pour des femmes.
Malheureusement elles ont toujours un chibre donc pour une écrasante majorité d'hétéro c'est un point non-négociable (rhalala on est tellement transphobe et haineux hein ?).
Maintenant parlons des
néovagins, donc ce qui se passe quand on retire le chibre d'un homme et qu'on confectionne un trou et un faux vulve à l'aide de chirurgie.
Le néovagin est une plaie, on a littéralement ouvert la partie qui se trouve à l'emplacement du chibre, après l'avoir retiré et refermé avec le scrotum du pénis (pour l'histoire du scrotum je le sais de mémoire, je plus sûr à 100 % je vous laisse checker ça).
Dans la grande majorité des cas cette plaie s'infecte donc les trans sont obligés de trouver des technique pour que la plaie de se referme pas. Dans la plupart des cas cette plaie est ouverte en permanence et dégage des odeurs peu reluisantes, quand c'est pas tout simplement l'odeur de l'anus.
Le taux de réussite - donc les néovagins qui n'entrainent aucune complications - est extremmement faible.
La plupart des trans qui ont fait la transitions regrettent et veulent faire machine arrière.
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Désolé mais on prends absolument pas le chemin d'une révolution sur ce sujet.
Ce qui se passe, selon moi, c'est que des individus faibles et souffrant de dysphorie trouvent refuge et confort dans des associations LGBT et féministes intersectionnelles, ce qui en soit n'a rien de choquant, sauf que les militants LGBT/Intersect sont persuadés qu'une société utopiste selon leurs convictions est possible.
Du fait de cela, les militants LGBT/Intersect poussent ls malades de dysphorie du genre à effectuer des transitions car ils sont persuadés que ça leur fera du bien.
"Ouais tu verras, si c'est bien fait les hommes n'y verront que du feu"
"Tkt y'a plein de gens qui aiment les trans, tu trouvera des partenaires, etc..."
Sauf que c'est faux ! Dans un très grand nombre de cas les gens qui ont effectués leur transitions n'obtiennent absolument pas ce qu'ils espéraient et n'ont pas la sexualité qu'ils espéraient.
Je dis absolument pas que c'est une généralité, je connais des trans, j'ai un aperçu sur le monde des trans étant donné mes connaissances et les associations de ma soeur et y'a des trans épanouis, même si ils se font emmerder au quotidien ils sont épanouis sexuellement.
Mais de l'autre côté t'as tout ceux qui sont déçus du résultats, qui finissent par détester leur corps car repoussant d'un point de vue standard de beauté, qui n'arrivent pas à séduire les personnes qu'ils veulent, qui repoussent les gens comme moi, c'est-à-dire des gens aimont les femmes avec un corps de femme, pas les hommes déguisés en femme, etc...
Et apparemment c'est encore pire pour ceux qui ont choisi de se faire faire un néovagin.
Du coup y'a vla les suicides qui augmentent, vla les dépressions et les trans qui veulent faire
marche arrière.